RENCONTRE - Chloé, Responsable Communication chez éthi'Kdo
Portrait réalisé en mai 2021
Originaire de Bretagne, Chloé a effectué un stage de fin d'études chez éthi'Kdo en tant que chargée de communication. Presqu'un an après son arrivée, elle est la voix et la plume de notre start-up de l'ESS.
Notre Responsable Commerciale Anne-Emmanuelle revient sur son parcours au sein de la coopérative !
Peux-tu nous présenter Chloé et son rôle chez éthi'Kdo ?
Anne-Emmanuelle : Chloé vient de la banlieue de Rennes et son rôle chez éthi’Kdo est de s'occuper de la communication ; des réseaux sociaux, des partenariats avec les journalistes, des relations avec les influenceurs et influenceuses et plus largement de la visibilité d'éthi'Kdo lors de la période de Noël.
Chloé : C’est tout bon, j'ajoute aussi les articles de blog, très importants car ceux-ci permettent d’augmenter notre visibilité et d'apporter des contenus sur la consommation durable à notre communauté :)
Quel est son parcours personnel et professionnel ?
Anne-Emmanuelle : Elle a fait ses études à l'IAE d’Aix-en-Provence après être partie de Bretagne et être allée à l'internat. Elle est arrivée en stage chez éthi’Kdo au mois de Juillet 2020... mais à part ça j’ai quelques petits trous sur son parcours !
Chloé : J'ai commencé par des expériences dans le commerce international parce que j'étais très attirée par l’Allemagne ; j’ai travaillé chez Rakuten sur le développement franco-allemand. J’ai ensuite travaillé dans une agence immobilière à Marseille et je me suis plus tournée vers la communication et marketing parce que j’avais besoin de créativité dans mes missions !
Ensuite, je suis partie en mission humanitaire de 6 mois en Indonésie pour donner des cours à des enfants et j'ai eu une véritable prise de conscience écologique. J’ai fini mon Master 2 en Communication & Management du Changement et j’ai intégré l'équipe éthi’Kdo.
Pourquoi en est-elle arrivée à se diriger vers l’Economie Sociale et Solidaire ?
Anne-Emmanuelle : Chloé est une personne très ouverte sur le monde, je pense qu'elle ressentait un besoin de sens et de savoir ce qu'elle apporte dans une entreprise.
C’est un engagement qu'elle a au quotidien, elle est engagée dans des assos, elle fait des maraudes... Il y a une certaine cohérence entre sa vie pro et perso.
Chloé : Tu as bien répondu. J’ai toujours été investie dans des associations, que l'objectif soit social ou environnemental, et le fait de travailler dans l’économie sociale et solidaire me permet d’aligner mes valeurs avec ma vie professionnelle.
C’est quoi son meilleur souvenir chez éthi’Kdo ?
Anne-Emmanuelle : Alors, son meilleur souvenir chez éthi’Kdo, c'est pas facile...
Dans les souvenirs qu'on a partagé, il y avait la journée de team building de mon intégration.
Il y a aussi eu une soirée avant le confinement dans l'espace de coworking dans lequel on travaillait, Makesense ! Et il y a peut-être eu une réalisation professionnelle qui a abouti chez éthi’Kdo dont tu es fière Chloé ?
Chloé : C’est vrai tu as bien résumé, la journée solidarité était vraiment top !
Les premiers souvenirs c’est souvent les plus marquants, je dirais aussi la première réunion d’équipe avec Constance, Tanguy et Séverin. Je me suis rendu compte qu’il y avait d’autre gens qui partageaient mes valeurs, ça m'a fait hyper plaisir !
Anne-Emmanuelle : Tu étais toujours en télé-travail du coup ?
Chloé : Oui mais on se faisait quand même des cafés en réunion d’équipe, j’étais toute nouvelle dans l’économie sociale et solidaire et un peu intimidée. Côté professionnel, un de mes meilleurs souvenirs est plus récent, quand on a lancé l’Echoppe de la transition. Le concept a plu aux particuliers comme aux professionnels. Ce projet nous a demandé beaucoup de travail et c'était un aboutissement de le rendre visible au grand public.
Quelle est sa journée type ?
Anne-Emmanuelle : Chloé arrive relativement tôt au travail, elle planifie les posts sur les réseaux sociaux en début de semaine et échange beaucoup avec des partenaires pour des échanges de visibilité. Et puis, elle s’occupe aussi de répondre à tous les clients d'éthi'Kdo et d'envoyer nos cartes cadeaux écologiques et solidaires.
Chloé : Mon challenge, c'est d’arriver avant Séverin le matin et je n’ai toujours pas réussi. Sauf une fois.. mais ce jour là il n’est jamais venu.
Sinon, je n'ai pas vraiment de journée type. Mes missions sont assez variées et toutes les journées sont différentes. Mais le plus fréquemment je m'occupe des posts sur les réseaux sociaux, j'ai des rendez-vous avec des partenaires potentiels j'avance sur la stratégie de communication et je m’assure d’être en lien avec les parties prenantes de notre écosystème.
Quel est son plus grand challenge pour la fin d’année 2021 ?
Anne-Emmanuelle : Ça va arriver très vite ! Je pense que, comme nous tous dans l’équipe, le grand challenge est de réussir Noël 2021 et tout mettre en œuvre pour que le plus grand nombre de personnes pensent à nous pour leurs cadeaux écologiques à Noël.
Mais aussi d’optimiser au maximum la présence sur les réseaux sociaux, sur les sites de nos partenaires et dans la presse pour que l’on soit visibles partout.
Chloé : Oui complétement, mon challenge c’est que le plus de personnes possible connaissent éthi’Kdo. Cela fait seulement 2 ans qu'éthi’Kdo est lancé et on en parle de plus en plus !
Mon autre challenge, c'est de maintenir 100% de satisfaction client. Les personnes satisfaites parlent de nous, nous recommandent parfois auprès de leur entreprise, ce qui est très important pour le développement de la consommation responsable.
Où voit-elle éthi’Kdo dans 10 ans ?
Anne-Emmanuelle : J’imagine qu’elle rêverait que éthi’Kdo soit présent en Allemagne ?
Chloé : Mon rêve serait que éthi’Kdo se développe à l’international pour promouvoir la consommation raisonnée. Par exemple, la possibilité de manger éco-responsable, de dormir dans des lieux respectueux de leur écosystème, de voyager local...
Si Chloé était une enseigne d’éthi’Kdo laquelle serait-elle ?
Anne-Emmanuelle : Je ne dirais pas vraiment une enseigne mais plutôt un partenaire comme WeCanDoo, car lors d'ateliers proposés par Makesense elle faisait ses propres déodorants. Ele aime faire des choses avec ses mains, on l'a d'ailleurs vu dans la vidéo de l’Echoppe.
Chloé : C’est vrai que j’aime beaucoup le concept de faire soi-même et les ateliers zéro déchet. Sinon j’aime beaucoup la marque Umaï qui est accessible via DreamAct, j’ai commandé l'un de leurs shampoings solides qui est top.
Si j’étais une boutique, je pense que je serai Matière Brute parce qu’ils font des cosmétiques de saison, je trouve leur démarche engagée, zéro déchet, et éco-responsable, et comme je change souvent les 4 saisons me représentent bien (rires) !
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